vendredi 6 juin 2008
Dernier atelier au collège!
lundi 2 juin 2008
L'Equateur en images...
Ma vie future...
En Francia, comemos muchas cosas diferentes. De costumbre, se come tres veces en el dia : el desayuno, la comida, la cena. La comida y la cena empiezan por la entrada que a menudo se compone de embutidos o verduras. Después, viene el plato principal : carne o pescado con verduras o arroz, pasta, patatas, o legumbres como por ejemplo lentejas, frijoles... Luego comemos el queso con pan y a veces con lechuga. Para acabar viene el postre : yogures, tortas, frutas, etc....Comiendo se bebe agua o vino (para los mayores !)
Mas tarde quiero ser kinesiterapeuta o profesor de gimnasia para niños. También me gustaría viajar por todas partes del mundo y descubrir otros países como el vuestro. Conozco muchos países de Europa como Italia, Irlandia, Suecia, Dinamarca y Austria, pero nunca he ido a América Latina ! Me gustaria tener gatos y un perro. Léa
Más tarde, me gustaría trabajar con los niños, en particular con recien nacidos. Querría etre a sabia mujer o puericultora!¡ Quiero tanto a los niños! ¡ Muchas chicas queren hacer este oficio en Francia!¡ Son oficios muy famosos! Enyleve
Mis vacaciones en Suecia: Fui a Stockolm, la capital de Suecia, habia muchas tiendas y parques. Un dia fuimos a ver un lago que era negro porque las hojas lo habian teñido.Me sorprendió mucho. En un museo leí también la historia de un barco grande que se hundió por el peso de los cañones. He querido volver allí porque es un país muy agradable y la gente es muy amable. Léa
lundi 21 avril 2008
Une journée au collège Fontenelle...
Voici le récit d'un lundi selon David et Marie-Justine:
El lunes me levanto a las siete para ir al colegio. Salgo de casa a las siete y media para empezar a las ocho. Cada hora cambiamos de sala de clase y de profesor. Almorzamos a las once y empezamos de nuevo las clases a las doce y media. A esas horas hay taller al dia: puede ser deporte, badminton, baloncesto , ping-pong y circo.También hayun taller de ajedrez y de puntos o croché. Acabo a las cuatro y media . Depués voy a casa. Cuando llego en casa meriendo mirando la tele. Después voy a hacer los deberes. Cenamos a las ocho y veo la tele hasta las diez y media- once. Luego me acuesto y me duermo enseguida. David
Mi día.
Me levanto a las siete, me visto, desayuno y voy al cole con mis mejores amigas. Comienzo en matematicas luego tecnoligia. Yo como a casa. Voy en ficica y en ingles, luego en musica. Como mi merienda. despuès hago mis deberes y voy a mi gymnastica, juego al ordenador. Como la cena con mi madre y mi hermano, miro la television y voy a dormir. Marie-Justine
Charlotte a choisi de raconter son samedi:
Mi día sabado:
Yo me levanto a las siete de la mañana, me visto, desayuno, doy de comer a mis mascotas y voy al cole con mis amigas. Comienzo en frances, luego siencias naturales, despues tenemos un recreo, y terminamos con clase de matematicas. Solo tengo clase en la mañana el dia sabado. Al medio dia como en la ciudad y hago compras con mis amigas en la tarde. Luego como mi merienda. En la noche juego al ordenator, como con mis padres delante de la television y voy a dormir. Charlotte.
Enylève:
Un día en el colegio
¡ Comienzo las clases a las ocho de la mañana. Cada clase dura aproximadamente 55 minutos. A las 10 tenemos el recreo. A mediodía yo como a las 11, y empiezo de nuevo a las doce y media. Hay otro recreo a las trece y veinte. Acabo las clases a las 16h 30 o las 17h 30, dependiendo del dia. Despues del colegio, vuelvo a casa y hago mis deberes. Juego a la computadora casi hasta la cena.
Léa explique plus en détails le fonctionnement d'un collège français:
Un viernes en mi semana.
Yo me levanto a las 6h30 de la mañana, me visto, desayuno y voy al cole con mis amigas. Tenemos varias clases en un dia, y cambiamos de aula y de profesor por cada una. Por ejemplo el viernes comienzo con el frances, luego las matemáticas. Finalmente almuerzo con mis amigas en la cantina del colegio. Tenemos una cantina en el colegio donde comen alrededor de setecientos alumnos. Los profesores comen en otra sala. Por la tarde, voy a clase de espanol y de deporte, luego vuelvo a casa. Meriendo. Hago mis ejercicios de bateria y mis deberes, despuès, juego al ordenador. Ceno con mi familia y miro la television. Luego voy a dormir. Me acuesto no muy tarde porque tengo clase a las ocho al dia siguiente.
mercredi 19 mars 2008
COLOMBIE-ÉQUATEUR • Mille excuses, monsieur le Ministre !
Le principal quotidien colombien s'est excusé d'avoir publié une photo montrant prétendument Gustavo Larrea, le ministre de la Sécurité équatorien, en compagnie de Raúl Reyes, numéro deux des FARC, tué le 1er mars. Bogotá comptait pourtant se servir de cette "preuve"...
17 mars 2008, AFP
Le quotidien El Tiempo s'est "excusé" platement dans son édition du 18 mars, auprès de ses lecteurs et du ministre de la Sécurité équatorien, Gustavo Larrea, "regrettant" la publication dimanche 16 mars d'une photo qui, affirmait le journal, montrait Larrea en grande conversation avec Raúl Reyes, le numéro 2 des FARC tué par l'armée colombienne le 1er mars dernier.
Las ! "Le personnage de la photo n'était pas Larrea mais un dirigeant communiste argentin", avoue le journal, qui raconte que ce cliché et la légende l'accompagnant lui avaient été remis par "un fonctionnaire de la police nationale colombienne".
Le scandale n'est pas anodin, car il intervient en pleine crise diplomatique après l'incursion militaire colombienne du 1er mars contre un campement des FARC en territoire équatorien, qui s'était soldée par la mort d'une vingtaine de guérilleros – dont le numéro deux des FARC, Reyes, et cinq étudiants mexicains. Or, pour se défendre d'avoir "violé" le territoire équatorien, la Colombie invoque la légitime défense et accuse l'Equateur d'abriter les guérilleros des FARC.
La photo tombait donc à pic. Tellement à pic qu'un membre de la délégation colombienne qui assistait lundi 17 mars à la réunion à Washington de l'Organisation des Etats d'Amérique (OEA) consacré à cette crise l'a fait circuler, rapporte le quotidien équatorien El Comercio. La photo a eu "son effet", poursuit le journal équatorien, et est devenue "le centre de l'intérêt de la presse qui couvrait la réunion". El Tiempo en a même remis une couche sur son site Internet en titrant que "la photo publiée par notre journal est au cœur des débats".
A Washington, un journaliste équatorien a cependant émis des doutes sur l'identité de la personne qui apparaissait sur la photo. "Il est trop athlétique et possède beaucoup trop de cheveux pour être Larrea", a-t-il affirmé. L'ambassadeur de l'Equateur à l'OEA s'est indigné, puis des diplomates argentins ont reconnu l'acolyte de Reyes : Patricio Echegaray, secrétaire général du Parti communiste argentin.
El Comercio a joint l'intéressé à Buenos Aires qui, ravi d'avoir "été promu ministre", raconte qu'il a effectivement rencontré Raúl Reyes plusieurs fois, mais toujours en territoire colombien. La photo date de 2005 et avait été publiée par la presse argentine.
La controverse n'est pas terminée pour autant. L'Equateur se défend des accusations colombiennes en affirmant avoir démantelé plus de 100 bases des FARC sur son territoire. Depuis le 1er mars, la presse colombienne a publié plusieurs documents trouvés dans l'ordinateur de Raúl Reyes qui étaient la thèse du gouvernement colombien sur les liens de l'Equateur et du Venezuela avec les FARC. La photo publié par El Tiempo avait d'ailleurs été présentée comme provenant de cet ordinateur. Interpol a été appelé à la rescousse pour inspecter les trois ordinateurs saisis dans le camp des FARC et authentifier ces documents. L'enquête est en cours...
A.P.
samedi 8 mars 2008
Réconciliation générale entre l'Equateur, la Colombie et le Venezuela
Les présidents colombien Alvaro Uribe (g) et vénézuélien Hugo Chavez (d) se serrent la main sous les yeux du président de la République dominicaine Leonel Fernandez, le 7 mars 2008 à Saint-Domingue - AFP/Présidence
Le président colombien a également serré longuement la main de son homologue vénézuélien Hugo Chavez, qui soutenait l'Equateur dans son conflit frontalier avec la Colombie."Nous allons commencer à faire retomber la tension et les eaux vont retrouver leur cours normal", s'est félicité M. Chavez, à l'issue du sommet. "Nous ne pouvons pas continuer à faire souffler un vent de guerre", a-t-il poursuivi, assurant que le Venezuela allait reprendre "le chemin de la paix" avec la Colombie. Le président du Nicaragua Daniel Ortega, un des représentants de la gauche anti-américaine animée par M. Chavez, a aussi annoncé la reprise de ses relations diplomatiques avec la Colombie.
Captures d'écran du président équatorien Rafael Correa (G) et de son homologue colombien Alvaro Uribe, le 7 mars 2008 à Saint-Domingue - AFP
Alors que certains observateurs craignaient ses diatribes enflammées, c'est finalement le président du Venezuela qui a mis le sommet sur les rails de la réconciliation. "Nous avons encore le temps d'arrêter un tourbillon que nous pourrions tous regretter", a lancé M. Chavez, qui traitait encore il y a quelques jours M. Uribe de "criminel de guerre" pour son raid militaire. Cette attaque, lancée le 1er mars contre un camp des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) en Equateur, avait provoqué la mort du numéro deux de la guérilla marxiste, ainsi que d'une vingtaine de rebelles. M. Uribe qui a justifié ce raid, dirigé selon lui contre "l'un des plus sombres terroristes de l'histoire de l'humanité", s'est toutefois déclaré "prêt à demander pardon" à l'Equateur pour avoir violé son territoire. M. Chavez a aussi plaidé pour la reconnaissance des Farc comme "force insurgée" et non terroriste, annonçant avoir reçu des preuves de vie de militaires colombiens. "Le fait que nous les désignons comme des terroristes ne signifie pas que nous ne soyons pas disposés à négocier", a rétorqué M. Uribe.
Le président vénézuélien Hugo Chavez (D) au côté du président du Nicaragua Daniel Ortega, le 7 mars 2008 à Saint-Domingue - AFP
Les Farc, en rébellion contre la Colombie depuis 1964, désirent libérer 39 otages, dont la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, en échange de 500 guérilleros emprisonnés. A Caracas, le ministre vénézuélien de l'Intérieur Ramon Rodriguez Chacin a annoncé avoir reçu des preuves de vie de dix militaires colombiens détenus par les Farc. A l'instar de M. Correa, le ministre a démenti les informations de la presse équatorienne sur une libération imminente d'Ingrid Betancourt, l'ancienne candidate à la présidentielle en Colombie, qui possède aussi la nationalité française. "Rien ne m'indique que cela (la libération de Mme Betancourt) est prévu dans les prochains jours", a déclaré Chacin lors d'une conférence de presse à Caracas.